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en un seul mot...

Comment résumé un an, cinq ans, dix ans... en un mot...
C'est un exercice peu facile, il est même quasi impossible, pourtant, hier j'ai pu mesuré une dizaine d'année de vie commune, et y mettre un mot... Dans la séparation de mon amie, je cherchais a qualifié celle-ci... de son point de vue à elle, c'est bénéfique; pourtant je sais que la réalité est... différente...
dans cette séparation, il n'y a pas de gagnant, juste beaucoup de perdants...

Souvent, quand on est extérieur a un "conflit", il faut quand même choisir son camps, définir celui avec lequel on désire continuer sa vie ou du moins, si jamais il fallait en arrivé là, avoir fait un choix... parfois radicale...

J'ai fait mon choix, il y a longtemps, j'avais fait une promesse, je m'étais engagé il y a des années sur cette voie, je me suis ré-engagé a honorer cette promesse il n'y a pas si longtemps que ça, peut-m'importe le prix... C'est peut-être la seule chose de bien qui me définis dans la vie...

Je reviens a ce mot qui résume cette période... j'y ai participé, j'y ai investis de l'énergie, pour finalement voir tout cela disparaitre... emporté dans le tourbillon d'une séparation qualifié par certains comme "prévisible".
Disparu les heures de travail, envolées les longues réflexions, perdue l'œuvre d'une période de ma vie... effacer des disques dur, des DNS et de la toile...
finalement ce mot... ce seul mot, c'est "gâchis"...

un instant?

Depuis le début de cette semaine, je suis en mode "support morale"... Cela me convient assez bien, j'honore ainsi une promesse, même si ce lundi a été le jour le plus difficile...

Je viens de rentrer de mon dernier support, un peu fatigué, mais content quand même, elle va nettement mieux... Par contre moi, je ne sais pas trop... je me sens bien, pourtant quelques choses migre dans ma tête, et je n'arrive pas a savoir quoi... Que ce soit une envie, un sentiment ou simplement un peu de fatigue, c'est bien présent, mais caché... en tout cas cela reste caché a mes yeux...

j'ai des doutes, comme tout le monde, mais sur le coup, j'ai plus de question que de réponses...

un jour peut-être, je trouverais une réponse au coin d'un être, d'une âme ou simplement d'un sourire

Le veilleur ?

2h30 du mat... je ferais mieux de dormir... mais pourtant, les mots fusent dans ma tête, les pensées s'emmêlent et se suivent a un rythme frénétique...
Aujourd'hui, enfin hier pour les gens normaux, j'ai pensé a plein de gens... Aux mauvaises nouvelles qui se suivent, ou plutôt que dire 'mauvaises' je devrais dire navrantes voir même prévisibles... Oui sa réaction était prévisible... en fait en écrivant cette phrase je me rends compte que plusieurs personnes peuvent la recevoir pour elles... et oui... j'ai pensé aux deux, ou vous deux, voir vous trois...

Dans un cas comme dans l'autre, mon instinct ne m'a pas trahi... Il a même été fidèle, hélas... Je suis au regret de dire que les choses étaient écrites... vous seules n'avez pas su les lires a temps...

Et ce soir, je m'endormirais une fois de plus en pensant a vous, en espérant que votre sommeil sera reposant, vos rêves doux et paisible, j'enverrais des tonnes d'ondes positives, jusqu'à ce que mon corps endorme cet esprit parfois trop altruiste...

j'ai envoyé un SMS en rentrant a la maison en espérant ne pas avoir de réponse... un comble quand même... jusqu'a maintenant, je n'ai pas eut cette réponse...

je veille sur vous... tous... même si mes pensées sont dirigées vers deux personnes, vous êtes bien plus nombreux à y vivre...

le temps d'une vie...

Ce matin, la triste nouvelle est tombée...
On s'y attendait un peu, enfin moi surtout... Que voulez vous, la vie continue... 
Hélas, ce genre d'épreuves n'est pas génial pour le moral; loin de là...

j'ai donc passée une soirée avec ma meilleure amie, on n'a pas vraiment parler, on a juste passer un peu de temps ensemble, tout ce qu'il y avait à dire, l'avait été durant la journée...

je suis rentré tôt chez moi, et là, le coup de blues... J'allume le PC, sans doute pour me sentir moins seul, ou tout du moins, pour faire entrer un peu de "monde" chez moi, étrange impression que de se dire, au travers de cette petite fenêtre, des milliers de gens sont là, a quelques cliques de souris... des aventures palpitantes, des rencontres, bref là vie...
Tiens j'ai un email de potes de guindaille... c'est le journal du CDOP, je prends le temps de le lire, il parle des fastes du XXème anniversaire de l'ordre... et m'invite au prochain événements...
Cela ne me touche pas beaucoup plus que ca, les guindailles sont loin derrière moi... je devrais dormir un peu, pourtant, je me connecte sur parano... j'y retrouve un message d'un autre de mes amies... elle avait simplement repris un extrait de ma fiche...   


Maintenant que je sais ce que je veux dessiner, qui a du sable en trop ?

J'ai une plage entière si tu veux devant chez moi :D

j'avais relu moi aussi sa fiche dans la journée... et là sans crier gare, le maousse coup de blues... elle a 20 ans, 20 ans, je me souviens de mes 16 ans...

je lui ai envoyé un message:


je viens de mettre la durée de ta vie devant moi, j'en ai fait des choses, parcouru du chemin, vécu des histoires, eut des battements de cœur, et des océans de larmes...
J'avais envie d'écrire quelques choses à quelqu'un... quelqu'un qui compte pour moi...
malgré les kilomètres, tu as su chaparder un espace dans mon cœur...

Et c'est vrai que j'en ai fait des choses depuis mes 16 ans, j'en ai rencontré des gens... vécu des choses; j'aurais pu ne parler que des faits généraux, pourtant il s'agit de ne pas oublier qui est dans mon cœur depuis vingt ans...

Je me souviens de Déborah, même si son visage s'est effacé avec l'aide du vent de la vie.
Je me souviens de Laetitia, rousse et belle, amour de vacances, cela remonte a si loin; petite française de Montpellier; nos soirées discussion où l'on voulais se débarrasser de ta peste de sœur, et aussi du placard...
Je me souviens de Sandra, et des émotions que j'ai ressenti, du râteau que j'ai pris.
Je me souviens de Sandrine sans doute l'une de mes plus belle blessure ou erreur, souvent ses yeux me hantent, elle avait ce "regard".
Je me souviens de Laetitia, encore, elle qui vivait si loin, j'ai vu quelques uns des endroits les plus magique de l'Hérault avec elle...
Je me souviens de Sandrine, encore elle aussi, douceur et douleur.
Je me souviens de Maria, d'une soirée spaghetti, d'une nuit "pyjama", de moments forts, de moments doux et d'inquiétude aussi...
Je me souviens Delphine, des moments forts et intenses, d'égarements dans les bois du Luxembourg a la recherche de la route vers la N4, des lucioles...
Je me souviens de Cécile, des espoirs que j'avais posés, des rêves que j'avais commencer à réaliser, et de l'effondrement de tout cela...
je me souviens de Delphine, encore, doux réconfort, et vents du changement...

On pourrait voir dans ce texte une sorte de tableau de chasse, il n'en est rien; c'est un hommage, un souvenir couché sur disque dur...
Un partie de ma vie, celle du cœur, des sentiments... j'aurais pu parler des milliers d'autres choses qui remontent a la surface... Pourtant, même importantes dans ma vie, je n'éprouve pas le besoin de vous en faire part...

Peut-être ais-je peur de voir disparaitre ces souvenirs; ils me sont chère, et chacun des souvenirs évoqués ci dessus, me semble pale en relisant et en comparant ces vingts années de cœur...

il y eut un soir, il y eut un matin...

Il est des jours où l'on se demande si l'on marche sur son chemin... Si l'on a mis ses chaussures, et si on ne s'est pas trompé entre la chaussure  gauche et la chaussure droite... Si le pied que l'on voit faire un pas de plus est bien attaché a sa jambe...

depuis quelques dizaines d'heures maintenant, je me pose des questions... pas forcément les plus logiques, ni les plus simples et encore moins les plus futiles... Bref, je me projette dans l'avenir, en gardant le passé en tête... je ne m'y vois pas... ou plutôt, je ne m'y sens pas, ce n'est pas mon avenir qui est devant mes pas...

Plus heures passent, et plus je me rends compte de cela, certains appellent cela la dépression hivernale, c'est possible, d'autre dirons le mid-life, c'est encore une possibilité, en fait on ne peut pas qualifié une tel quantité de sentiments et de "feeling" d'un seul mot, un seul concept.
Je confronte mes impressions avec mon expérience, et je me dis que ce n'est vraiment pas bon... Ce n'est la faute a personne, pourquoi faudrait-il que ce soit la faute d'untel ou d'untel... Non, il n'y a pas de coupable, il n'y a que des victimes; et comme souvent avec les victimes, quand on les voit, c'est sale, c'est moche et ça donne la nausée.

Si il fallait désigner un coupable, le plus simple serait de prendre le premier venu, le plus évident, le plus en faute; moi... Je suis coupable d'avoir sans le savoir cloisonné ma vie, partager mon énergie, et surtout ne pas avoir penser a m'en garder un peu...

Certaines personnes pensent savoir ce qui me tourmente, ils savent en partie... Je ne leurs dis pas tout, déjà que je ne me le dis pas a moi même... toutefois, leurs conseils sont bon, et je vais sans doute les suivre... Bientôt, dès que la tempêtes sera passée, dès que j'aurais le courage, dès que....

Maudit complexe de l'ange gardien qui veut a tout prix protéger et servir les autres...

Bref, il y eut un soir, il y eut un matin; cette phrase rythme la genèse et sa poésie simple me laisse penser que toute histoire commence un jour, c'est le matin... et fini un soir comme une journée...

...il y eut un soir, il y aura un matin... le tout est de savoir l'heure qu'il est finalement...

Le grand calme ?

Ce lundi, je m'attendais a un remake de la semaine passée... A une ré-édition du conflit bosniaquo-irako-lunatique... vous pensez, le site n'est TOUJOURS pas en ligne, et franchement on y peut rien... le département de la communication a oublié de communiquer avec les gens du bureau pour le contenu

Je suis donc arrivé ce matin près pour la guerre, le casque, les lunettes anti poussières, les rangers, le trellis... tout quoi...

Je m'installe, cela commence fort... Problème sur le serveur Lancelot (celui qui gère les impressions)... Ok, on y va en douceur... Reset connexion, settings upload... et merde rien...
Cette imprimante là ne veut rien savoir, pourtant les 109 autres du même type sont contente... et le technicien me dit que tout va bien sur la machine... Reboot sauvage du serveur, rien ça ne marche pas... voici le dialogue:

[Thierry] ok, on va tester la connexion ... 'PING 10.2.7.134'...
[technicien] 134 ???? mais je suis sur la 130...
[Thierry] ça peut expliquer...
:
Il se déplace sur la bonne machine
:
[technicien] j'y suis... ha heu... elle est plantée, c'est la faute à unix...
[Thierry] tu veux dire ?
[Technicien] Je dois relancer la machine pour que le TCP IP soit modifié...
[Thierry] Il date de quand votre unix? parceque franchement ca le fait 'online' depuis au moins 1997
[Technicien] C'est un BSD...
[Thierry] Quand tu demande une date de rendez-vous galant a ta femme, elle te réponds souvent par le nom du restaurant ?
[technicien] ....

bref, fin de la matiné...

j'ai passé l'après midi dans un demi sommeil post-digestif des plus délicats...

fin de la journée, je me pause lentement... waips...

demain sera un autre jour... on sera un de moins... congé tout ça...
Ca sera sans doute demain la guerre de l'empereur...

un peu de méchanceté ?

Aujourd'hui, on m'a demander d'être trash sur une connaissance commune d'une personne chère...
j'ai laissé le coté sympathique dehors, sans doute le stress du travail, la fatigue et quelques "conflits" dont j'ai été le témoin ces derniers jours en sont les raisons principales...

j'ai donc dis ce que je pensais... sans vraiment charger... je ne suis pas méchant a ce point...

j'ai donc donné mon point de vue, que son "officiel" n'était pas assez stable pour elle, qu'il n'était ni noir ni blanc, et même pas gris... Lors de leurs rencontre dont j'ai été le témoin, il etait content de la voir, un peu, et d'autre fois, on avait l'impression qu'elle le faisait chier...
Bref, un champion de la marche de l'idiot (un pas en avant, trois pas en arrière, un de coté)

finalement, j'ai ajouté qu'elle avait besoin de quelqu'un de stable, qui lui offre une relation stable, simple et heureuse... une relation qui lui permet d'oublier son travail, une relation que notre ami commun ne semble pas décider ou capable de lui offrir... soit par peur, soit parce que n'ose pas s'investir...

bref, au final, elle lui a "lâché le pavé dans la mare", je pense qu'elle a fait un pas en avant dans sa vie, du coup, elle a éprouvé le besoin de venir voir nos chats... un besoin, et aussi une envie de voir "son parfum d'interdit"...

elle m'a demandé mon avis... je ne lui ai pas donner, pas eut le temps... tel que je la connais, demain matin (ou midi) quand je la verais, elle aura (j'espère, car elle le mérite) changer d'homme...

elle mérite d'être heureuse, même si elle a été l'une de ces fissures de mon coeur... elle y aura toujours une place, bien au chaud.

comme dans un rêve...

Après un Weekend long et difficile de travail, entrecoupé de quelques rares moments de détentes... je suis rentré vers 4h00 du matin, l'impression que le pire était derrière moi... Imaginez une migration de domaine, un remaniement important du traitement des emails...

bref, un Weekend complexe et nerveusement éprouvant... J'avais du faire l'impasse sur l'hommage a Ritchie...
j'aurais préféré lui rendre hommage au théâtre de verdure, une bouteille de cidre a la main, le regard poser sur la vie... Pas dans un mouvement "commerciale", et oui, il y a bien eut un hommage, mais je ne pouvais pas cautionner le lieu, ni l'évènement qui s'y déroulait pour un hommage a Ritchie

Donc rentré vers 4h00 du matin, le temps de me mettre au lit, il n'est pas loin de 5 heure quand je m'endors finalement... premier coup de téléphone vers 9h00 pour régler un petit problème technique... même a moitié endormis, je donne une réponse cohérentes.. je me rendors directe...

A peu près une heure après, Rosy me téléphone... dans mon demi sommeil elle m'annonce la terrible nouvelle: Chaton a eut un accident de voiture...

la journée est passée, elle a été pourrie par cette idée... ce sentiment... tout a foiré...

je suis rentré le soir, toujours avec ce malaise, j'ai eut des informations, cela ne m'a pas aider...

et là curieusement, tout reviens...

les visages des disparus, leurs envies de vies, leurs projets... tout.

j'ignore ce que l'avenir nous réserve; ce soir je pense a pilie, aux parents de chaton... et a tous ceux qui restent...

finalement partir est facile, c'est ceux qui restent qui trinquent...

un jour dans ma tête

j'ai écrit cela un jour, pour une femme merveilleuse, je ne lui ais jamais dit cela avant.
Maintenant, quoi qu'il arrive, c'est trop tard... Nos vies ont pris des chemins par trop différent; je ne regrette pas le chemin parcouru, il est derrière moi, j'aime à penser que les meilleurs moments sont ceux que l'on n'a pas encore vécu...

J'ai appris beaucoup en 8 ans, j'en apprends chaque jour un peu plus sur moi...
Et dire que tout est parti d'elle... Si elle venait a lire ces lignes, elle se reconnaitra sans doute, les choses changent, et mes sentiments ont évolués, eux aussi, mais leur force n'a jamais faibli, que du contraire...

Il y en a eu d'autres, et grâce à l'enseignement de vie de cette personne, toutes ont gardées une place dans mon coeur, et peu à peu, celui-ci s'est agrandit...
A chaque rencontre dont la vie me gratifie, je repousse un peu plus les murs de mon coeur pour y accueillir les nouveaux venus...
Ce type de pensée n'est pas toujours facile à vivre, surtout pour les autres, mais je ne crois pas en l'Amour, je crois en l'Amours...

ce soir, j'ai pensé à toi...

Simplement, pour ce que tu es; pas ce que tu représentes ni ce que tu parais, juste pour toi...

Tu as énormément de valeur à mes yeux... Et jamais je ne te l'avais ouvertement dit.
Tu es, quelques part, l'une des choses qui à construit l'adulte (irresponsable) que je suis, et pour cela, cette petite chose, ce petit don que tu m'a fait un jour, je serais toujours la près de toi, quand tu auras besoin de moi...

tu n'as pas besoin de pleurer pour que je viennes sécher tes larmes,
tu n'as pas besoin de crier pour que je viennes te dorloter,
tu n'as pas besoin de souffrir pour que je viennes te consoler;
il te suffit juste de m'appeler, et je viendrais.

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